Critique du documentaire Jean-Michel Basquiat: l’enfant radieux |
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Written by Kam Williams
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Tuesday, 17 June 2025 16:43 |

Jean-Michel Basquiat (1960-1988) est né à Brooklyn d'une mère portoricaine et d'un père d'origine haïtienne. D'un naturel rebelle, il a souvent fugué durant son adolescence pour définitivement partir à 17 ans. Ayant déménagé à Manhattan, il a abandonné l'école afin de passer ses journées à taguer son pseudonyme « Samo » partout, car, comme il le disait, « le but du graffiti, c'est la célébrité ».
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Akeelah: Une critique du film |
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Written by Dr Brooks B. Robinson
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Sunday, 14 January 2024 19:24 |

« Être » est un mot puissant pour désigner nos principales religions. « Que la lumière soit », par exemple, l'une des premières phrases de l'Ancien Testament, annonce la création de notre monde. Ensuite, il y a « abeille » – comme dans le concours d’orthographe1. Pour une petite fille dans un film fascinant, le mot ouvre la voie à la construction d’un avenir plein d’autonomie. "Akeelah" ("Les mots d’Akeelah" au Québec) avec Laurence Fishburne, Angela Bassett et Keke Palmer, raconte l'histoire d'une jeune fille du South Los Angeles2 qui se hisse malgré des moyens modestes en participant au National Spelling Bee. Mettant en lumière le mélange du pouvoir des mots et du savoir avec l'esprit de compétition, le film illustre jusqu'où la réussite individuelle et le soutien communautaire peuvent mener quelqu'un et crée l'un des films les plus puissants depuis des années.
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Réflexions sur le film Wonder |
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Written by Patricia Turnier
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Monday, 17 September 2018 19:18 |
Wonder sorti l’an dernier est devenu un gros succès commercial. Le film a récolté plus de 300 millions de dollars mondialement et Julia Roberts ayant remporté un oscar est l’une des principales actrices. L’histoire (basé sur le bestseller roman éponyme de R.J. Palacio) concerne August Pullman, un jeune garçon interprété par le superbe acteur canadien Jacob Tremblay. Pullman a été élevé au cossu Manhattan, New York. Il a une rare maladie faciale appelée le syndrome de Treacher Collins.
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Critique du film: Les fous riches asiatiques |
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Written by Kam Williams
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Friday, 14 September 2018 00:00 |

Un héritier amène à la maison sa fiancée pour rencontrer sa mère formaliste dans un délicieux drame romantique
Même si Nick (Henry Golding) et Rachel (Constance Wu) se fréquentent depuis quelques années, ils savent peu de choses sur leurs passés. C’est parce qu’ils vivent dans la ville de New York où il ne s’est jamais donné la peine de révéler qu’il provient d’une des familles les plus riches de Singapour, et elle n’a jamais parlé de ses humbles racines, ayant été élevée par une mère chinoise monoparentale (Kheng Hua Tan) ayant émigré aux États-Unis.
La différence de leur statut social n’a jamais affecté leur relation, vu que Nick est tellement sans prétention, et l’ambitieuse Rachel qui combat les obstacles en obtenant une superbe éducation et qui est sur le chemin de devenir une professeure à l’université de New York. En réalité, ils s’entendent si bien qu’il considère sérieusement de lui demander sa main. Il a même choisi une bague en diamant.
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Le cinéma noir américain des années Obama |
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Written by Dr Régis Dubois Ph.D/une courtoisie des éditions LettMotif
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Wednesday, 20 September 2017 00:00 |

Années 2010 : un nouvel âge d’or du cinéma noir?
Et nous voilà donc arrivés aux années Obama, période 2009-2016. Ce que l’on peut constater en prenant du recul, c’est que l’ère Obama n’a pas véritablement engendré de phénomène nouveau au cinéma. Il existait des films afro-américains depuis longtemps, et pas seulement des films de série B u des films communautaires, mais aussi des films ‘’de prestige’’mainstream explorant l’histoire des Noirs américains, à l’exemple de Sounder (1972) pour n’en citer que quelques-uns. Par ailleurs, en termes de quantité, on ne peut pas dire non plus qu’il y ait davantage de films noirs produits et diffusés aujourd’hui que durant les périodes Blaxploitation ou New Jack : on dénombre en effet environ 160 films noirs pour la période 1969-1976, 140 entre 1989 et 1996 et 165 pour l’époque qui nous occupe ici, à savoir les années 2009-20161. Il n’empêche, ceci étant dit, les années Obama s’apparentent quand même à un âge d’or du cinéma noir. À cela au moins trois bonnes raisons.
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